Kokine nous a quitté le
lundi 15 janvier 2010 à 18h
Il est 4h, la maison dort, toutes les places sont prises par
les chats, mais tu n'es pas là, et malgré que
personne ne bouge ton absence est lourde, car au moindre
bruit de ma part même la nuit tu serais venue voir ce
qu'il se passe, juste passer, jeter un coup d'oeil et si
l'envie te prenait, tu serais venue sur mes genoux, peser de
tout ton poids ronronner et essayer d'attirer mon attention
en me tapotant avec ta patte.
Mais cette nuit tu n'es pas là, et tu ne seras plus
jamais là sur mes genoux.
Voilà à nouveau le malaise qui s'installe
comme à chaque fois que je dois écrire un
hommage à un de mes petits coeurs disparus.
La tête me tourne, les larmes coulent, et je me dis
que le temps passe trop vite auprès de ceux que l'on
aime.
Les souvenirs affluent, je te revois, ma petite Kokine avec
ta bouille de bébé, comment aurais-je pu
t'appeler autrement ?
Toute petite tu étais remplie de malice et de
drôlerie, petit chaton déjà tu
fronçais ton nez quand quelque chose
t'étonnait.
KOKINE, en ce qui concerne l'orthographe tu étais
un cas vraiment et encore plus qu'un alors il
était impossible d'écrire ton nom "coquine"
trop simple, trop terne, pour toi il fallait que ce soit
drôle .
Intelligente, gentille, douce, câline, drôle, tu
es la Kokine à toute la famille humaine ou animale,
tu vas tellement nous manquer, Garfield va se sentir seul,
la petite crevette est perdue déjà depuis que
ta maladie t a rattrapée, Ninine va avoir froid
désormais la nuit sans toi, sans tes bisous que tu
lui faisais sans cesse, qu'est ce qu'on va devenir sans toi
qui remplissait la maison de tes drôles de miaulement.
Kokine je t'aime tellement et j'ai une colère si
grande car le doute ne me quittera plus jamais, je ne saurai
jamais si à la première visite chez le
vétérinaire ta maladie avait été
décelée tu serais encore près de nous,
cette question restera à jamais en moi avec toute la
peine qu'elle me donne.
Tu as surement retrouvé Nina que tu aimais tant, je
sais que son départ n'est pas étranger
à ta maladie, ta tristesse les jours qui ont suivi
son départ était visible, et tout le monde
à la maison l'a ressenti, on s'est pressé
auprès de toi, chacun à sa manière t-a
donner le plus d'amour possible pour que ton chagrin
s'estompe, j'y avais cru, mais hélas tu ne m'as pas
montré assez tôt mon coeur que tu étais
malade, ou je crois plutôt que je n'ai pas su voir ce
qui se passait en toi. Pardon.
Je ne vais pas continuer à écrire ma peine,
ça ne sert à rien, je ne vais pas hurler ma
colère, ça ne sert à rien, plus rien ne
te fera revenir près de moi, tu es à jamais
dans mon coeur, et tu seras toujours aussi présente
dans mon esprit il est impossible, et je peux même
dire que ceux qui ont eu la chance de te croiser, aucun ne
pourra t'oublier, chacun se souviendra de tes câlins
de ton accueil, de tes petits cris pour attirer l'attention,
de ta gentillesse envers TOUT LE MONDE. Je t'aime de tout
mon coeur.
Ta place est à jamais gravée dans mon
coeur
Ton
arrivée dans ma
vie -
La
page de Kokine
- Kokine
Princesse du coeur -
offert par Josyane, le
Refuge de Josya
toujours présente depuis toutes ces années
et tellement proche des Animaux de la maison
Création "La Maison des Animaux" - Le
Livre d'or
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